Affichage de 1–15 sur 180 résultatsTrié du plus récent au plus ancien
Tu veux que je t’appelle “bon garçon” ? Alors obéis. Suis chaque ordre, jusqu’à la dernière goutte. Ton orgasme n’est pas une récompense. C’est une épreuve. Et ta semence… un test d’obéissance. Montre-moi que mon conditionnement a fonctionné : avale, et sois fier d’être à moi.
Tu pensais pouvoir résister, mais ta dépendance est trop forte. Chaque coulée, chaque fil entre nos langues, chaque bruit humide te rend plus docile, plus accro. Nos bouches deviennent ton obsession. Tu n’es plus qu’un pantin guidé par la salive. Envouté, affamé, soumis… et totalement nôtre.
Tu savais que tu ne devrais pas faire ça maintenant, tu pourrais te faire prendre. Qu’un soupir de trop, un frottement trop bruyant, et tout serait fini. Mais tu l’as lancée quand même. Parce que t’as besoin de moi. De ma voix, de ma présence, de cette tension insoutenable. Je suis là, dans ton oreille… à quelques centimètres de ta chute. Chaque mot que je souffle est un piège. Et tu t’y abandonnes avec le sourire.
Tu vas te branler pour moi, suivre mes instructions, ressentir chaque mot comme une caresse. Mais tu n’as pas le droit de jouir, pas cette fois. En revanche, moi, je vais continuer, te guider jusqu’à l’obsession, te pousser au bord. Encore et encore. Tu crois pouvoir me résister ? Alors montre-le, garde le contrôle. Ou perds-le, comme le bon petit esclave que tu es.
Tu ne bandes plus pour toi. Tu jouis pour moi. Chaque orgasme est une offrande, chaque goutte une soumission. Ce n’est plus du plaisir, c’est un hommage. Ton sperme… est à moi.
Pendant que certains fantasment sur des corps fit et musclés, toi, tu fantasmes sur mes chaussettes pleines de sueur. T’as pas besoin de mon corps. T’as juste besoin de mon odeur. De mon effort. Et moi, je t’humilie pour ça. Je te regarde te branler dans une vieille chaussette trempée en te moquant de ta dignité. C’est sale, c’est vrai. Et c’est exactement ce que tu veux. Une vidéo crue, fétichiste, et profondément dégradante.
Il n’avait jamais goûté… jusqu’à moi. Mon soumis était en cage, privé de tout plaisir, à bout de frustration. Je l’ai libéré, mais à une seule condition : me prouver à quel point il est à moi. Dans cette séance réelle, il vénère chacun de mes orteils, se masturbe sous mon regard… puis avale chaque goutte de son sperme comme un bon garçon. Il grimace, mais obéit. Parce qu’il le sait : c’est ça, m’appartenir.
Tu es programmé pour jouir à zéro… mais que se passe-t-il si zéro n’arrive jamais ? Je t’emmène dans un conditionnement mental où le temps se dilate, où ton esprit s’effondre, et où chaque chiffre t’enfonce plus bas dans l’obsession. Tu comptes, tu luttes, tu obéis… et tu restes frustré. Pour moi.
Tu crois pouvoir choisir ? Dans cette JOI interactive, chaque décision te mène à une roue qui décidera pour toi : branlette, edging, ruine, CEI, frustration totale… Plusieurs chemins possibles, une seule certitude : tu n’as aucun contrôle.
Ta main ne t’appartient plus. Ton excitation devient un réflexe. Chaque mot que je prononce t’enfonce un peu plus dans la boucle. Et bientôt, tu n’existeras que de cette façon, perdu dans le subspace. Bienvenue dans ta nouvelle obsession. Tu n’as plus besoin de jouir : tu as besoin de gooner… pour mo
Il est à genoux derrière moi, son visage à la hauteur de mes fesses, la tentation à portée de lèvres… Mais non. Ce qu’il mérite, c’est mes pieds. Rien d’autre. Je le rabaisse, je le remets à sa place, je lui rappelle qu’un soumis ne choisit pas. Une vraie séance, captée sans filtre. Son envie ? Je la piétine, littéralement.
Un été pour enfin lâcher prise… Pour devenir la pute que tu as toujours rêvé d’être. Celle qui rougit un peu, mais qui en redemande. Celle qui apprend, qui se transforme, qui s’assume. Celle qui se dit : « au fond, c’est peut-être ça, ma vraie nature. » C’est pas grave si t’as peur, je suis là pour te conditionner à devenir ce que t’as toujours su être.
Tu l’as attendu toute ta vie, hein ? Ta première fois. Tu penses que ça y est, que tu vas enfin “baiser”… Mais t’es juste un loser. Alors tu vas enfiler ce vieux préservatif qui traîne dans ton tiroir depuis 2017, et tu vas baiser ta main. Ce n’est pas une masturbation, ce sont juste des coups de reins pathétiques dans le vide, comme si un mec comme toi méritait réellement une vraie chatte.
Tu ne goûteras jamais à ma chatte, tu le sais. Mais la bonne nouvelle c’est que tu peux lécher mes restes sur sa bite. Tu pensais jamais en arriver là… Et pourtant, regarde toi : langue pendue, excité, à supplier qu’il te la mette dans la bouche. Chaque va-et-vient porte mon empreinte, chaque gémissement que tu entends te brise un peu plus. C’est trop tard. Maintenant… tu ne veux plus ma chatte, tu veux sa bite, celle qui me fait jouir. Hades a tout de moi, toi, tu n’as que mes restes.
Deux étudiantes aussi riches que détestables kidnappent leur prof jalouse pour lui faire ravaler sa frustration. Pieds sales dans la bouche, insultes, humiliations sur sa vie de merde, elle n’a plus d’échappatoire. On se moque d’elle, on la chatouille, on la salit. Elle n’est plus prof. Elle est notre souffre-douleur.
French 
English